L’Art, dit culture et la culture a pour socle les mœurs qui sont à leur tour : habitudes, naturelles ou acquises, relatives à la pratique du bien ou du mal au sens de la morale. Ces pratiques lorsqu’elles jouissent d’une bonne considération sociale.

L’artiste, lui, est cet enseignant, cet instituteur qui de loin par son devient le garant de la continuité de ce devoir de moral à perpétuer dans le cœur et dans l’espoir de ses fans qui sont en majorité la jeunesse qui est appelée à occuper les institutions d’un État donné.

Adji One, wee soldat, Malakey, Pap son, passant par ces grands frères ratés qui n’ont su montrer autre que l’argent sale, le sexe, la drogue et les bagarres inutiles qui n’auront que conséquences la guerre clanique, la débauche, la transgression, la dépravationdes mœurs.
Autant de mal’éducation qui ne donne point à ma société un lendemain.

Adji one mérite aujourd’hui un asile au lieu d’un MIC a la main. Il mérite plus une correction exemplaire que des pleurnicheries. (je suis Centhiago)

Les parents, la brigade des mœurs, les mairies, le ministère de la Culture, les associations pour la gouverne de nos cultures sont tous interpellés ici à unir leurs forces afin d’éradiquer ce fléau qui gangrène de jour en jour cette société jadis de culture et aujourd’hui qui est au bord du gouffre.

Mes respects à tous ces artistes qui ont su s’imposer dans le game tout en gardant l’éducation jadis enseigner dans toutes nos institutions d’apprentissage et d’éducation, de la famille, à l’école, dans la rue, dans nos secteurs d’apprentissage et d’activités professionnelles.
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Malick Diancoumba